Réputé comme l’utilisation de produits cosmétiques pour l’embellissement du visage, le «Make up» ou maquillage est devenu un métier très tendance à Kinshasa en République Démocratique du Congo (RDC). Pour tirer leurs épingles du jeu, de nombreuses jeunes filles se sont professionnalisées dans ce domaine.
C’est pour répondre à une demande de plus en plus forte que ces maquilleuses se sont spécialisées dans ce style de beauté. Le «Make Up» est un maquillage de visage qui s’est démarqué du maquillage classique grâce à son extravagance et son outrance.
Avec le « make up», les maquilleuses prennent plus de temps à les réaliser; côté résultat, les traits du visage sont plus marqués et embellis. C’est l’univers de la brillance et du visage parfait.
A Kinshasa, lors des grands événements et cérémonies festives comme les mariages et les anniversaires, le « Make Up» s’invite. Il est un signe du prestige en milieu féminin.
D’ailleurs, même si le coût devient de plus en abordable, le «make Up» est toujours surtaxé par rapport un simple maquillage. 20 dollars minimum pour une séance.
Pour bien réaliser ce maquillage, l’arsenal cosmétique est très fourni et varié.
Il est choisi minutieusement afin d’obtenir le résultat escompté, c’est à dire un visage sublime, presque parfait.
Pinceaux de toutes les sortes et de tailles différentes, tableau de beauté complet pour sublimer le regard, fond de teint, blender de beauté, recourbe-cils, etc.
Tout, pour faconner un visage digne d’une image en 3D.
La vulgarisation du «make Up» a aussi favorisé la création des centres de formation.
Une aubaine pour les jeunes qui aspirent au métier de maquilleur.
Pour la petite histoire, les peuples de l’Egypte ancienne sont les premiers à avoir utilisé le maquillage ou «Make up» pour l’embellissement du visage. Ils l’utilisaient également pour ses vertus médicales.
Les femmes portaient alors du khôl fabriqué à base de suie ou de plomb, afin de protéger leurs yeux.
Avec le « make up», les maquilleuses prennent plus de temps à les réaliser; côté résultat, les traits du visage sont plus marqués et embellis. C’est l’univers de la brillance et du visage parfait.
A Kinshasa, lors des grands événements et cérémonies festives comme les mariages et les anniversaires, le « Make Up» s’invite. Il est un signe du prestige en milieu féminin.
D’ailleurs, même si le coût devient de plus en abordable, le «make Up» est toujours surtaxé par rapport un simple maquillage. 20 dollars minimum pour une séance.
Pour bien réaliser ce maquillage, l’arsenal cosmétique est très fourni et varié.
Il est choisi minutieusement afin d’obtenir le résultat escompté, c’est à dire un visage sublime, presque parfait.
Pinceaux de toutes les sortes et de tailles différentes, tableau de beauté complet pour sublimer le regard, fond de teint, blender de beauté, recourbe-cils, etc.
Tout, pour faconner un visage digne d’une image en 3D.
La vulgarisation du «make Up» a aussi favorisé la création des centres de formation.
Une aubaine pour les jeunes qui aspirent au métier de maquilleur.
Pour la petite histoire, les peuples de l’Egypte ancienne sont les premiers à avoir utilisé le maquillage ou «Make up» pour l’embellissement du visage. Ils l’utilisaient également pour ses vertus médicales.
Les femmes portaient alors du khôl fabriqué à base de suie ou de plomb, afin de protéger leurs yeux.
Paul Ngoy, Ligablo.co